backpacking

Les robinsons de Raiatea

Le plan était simple ; rechercher un nouvel équipage à intégrer, tout en en profitant pour explorer l'île. Raiatea est la capitale et la plus grande des îles sous-le-vent. Pour la parcourir, le bon vieil auto-stop s'avéra aussi pratique que sur Huahine.
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Dans la jungle de Huahine

Le plan était simple ; rechercher un nouvel équipage à intégrer, tout en en profitant pour explorer l'île. Raiatea est la capitale et la plus grande des îles sous-le-vent. Pour la parcourir, le bon vieil auto-stop s'avéra aussi pratique que sur Huahine.
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Des pirates à Moorea

Premier chapitre d’un recueil d’aventures en Polynésie# S’il est une région que je ne m’attendais pas à visiter de si tôt, c’est bien la Polynésie française. A ce jour, c’est l’endroit le plus loin de chez moi où je n’ai jamais été, et qui le restera certainement pour toujours à moins de partir explorer d’autres planètes. Avant qu’une amie backpacker [@alek.sia] ne la mentionne comme possible destination, la Polynésie n’était qu’un vague concept, regroupant quelques termes comme «Tahiti», «Cocotiers», «Eau turquoise», et autre «Hôtels de luxe sur les plages de sable blanc de Bora-Bora».
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Le Baladin

C’est par un hasard extraordinaire que j’ai pu mettre un terme à un mois de vadrouilles en Islande en embarquant non pas dans un avion, mais à bord du Baladin, un fier Albin Ballad de 9m de longs qui recherchait des équipiers pour revenir sur le continent. A défaut de volontaires expérimentés, difficiles à trouver en période de crise sanitaire, c’est sur le vagabond enthousiaste que le Cap’tain Nico dut se rabattre.
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Pays de Glace

Île de bien des fantasmes, l’Islande est un paradoxe de nature sauvage et d’invasion touristique. J’ai eu la chance de pouvoir m’y rendre par deux fois, pour un total d’un mois et-demi environ. Et c’est peu de le dire, ça été l’occasion d’arpenter et de poser les yeux sur certains des plus beaux endroits du monde.
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Dans le désert, il n’y a rien

Dans les films d’aventures, il y a toujours un passage dans le désert. C’est un espace rempli de contradictions, magnifique et mortel. «C’est propre», comme le disait Lawrence d’Arabie dans le film éponyme de 1962. Mais comme le répliquait si bien dit un autre des personnages, dans le désert «il n’y a rien». Et aucun homme n’a besoin de rien. C’est à Marrakech au milieu du mois de janvier que mon périple a commencé. Je suis arrivé avec deux amis rencontrés immédiatement en descendant au port de Tangers. <br>J’avais quitté l’équipage des Sea Frogs quelques semaines auparavant, avec la lointaine perspective de voir de mes propres yeux cet environnement composé de rien.
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The Sea Frogs

Puisqu’il faut bien commencer quelque part, laissez moi vous présenter l’équipage des Sea Frogs et leur projet aussi beau qu’improbable. Les Sea Frogs sont un groupe de cinq amis qui ont rassemblé leurs économies pour acheter un vieux voilier de 13 mètres de long qu’ils ont remis à neuf, de la cale à la hune, de la poupe à la proue. Ce navire, jaune d’un côté, vert de l’autre, porte désormais le nom de «Gustave». Un choix anodin qui n’en est pas un : «gust» se traduit par «rafale» en allemand, la langue maternelle d’un des membres de l’équipage. Et Gustave sonne aux oreilles des anglophones comme «good stuff».
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